En cas d’imprévus, de besoins urgents d’argent ou de grands projets à réaliser, on peut contracter un crédit, mais pas n’importe lequel. Chaque type de crédit est affecté à un besoin personnel comme le crédit immobilier, le crédit auto et le crédit à la consommation.
Quand contracter un crédit immobilier ?
Le crédit immobilier est destiné pour financer l’achat d’un bien immobilier : un terrain, une maison, un appartement ou une boutique. La somme empruntée couvre généralement l’ensemble des frais à condition d’avoir un apport personnel représentant 10 à 30% de la somme totale. Ces frais regroupent le prix du bien, le frais de dossiers, le frais de notaire et le frais d’agence. Le coût du crédit immobilier varie entre 3 à 7% de la somme empruntée et la durée de remboursement entre 10 et 30 ans selon la banque et l’offre choisies. Mais, on tient également en compte les conditions du marché et les profils de l’emprunteur. Le crédit immobilier représente une grosse somme et les banques sont assez sélectives pour l’accorder. Pour mettre toute la chance de votre côte, il vaut mieux souscrire une assurance de prêt.
Pourquoi contracter un crédit auto ?
Comme son nom l’indique, le crédit auto est destiné pour l’achat d’un véhicule neuf ou d’occasion. Son coût varie de 2 à 6% de la somme empruntée et il se rembourse en 1 à 4 ans. Le crédit auto s’obtient par des justificatifs de finance afin de garantir le remboursement du prêt.
A quoi sert le crédit à la consommation ?
Le crédit à la consommation subvient aux différents besoins quotidiens. Vous pouvez contracter un crédit à la consommation pour divers motifs comme l’organisation d’un voyage à l’étranger, l’achat d’un appareil électroménager, l’aménagement de votre jardin ou simplement pour le shopping. Il est plus facile à contracter, mais peut induire à s’endetter. Soyez vigilant et réfléchissez bien au motif avant de contracter un crédit à la consommation. Bien qu’il soit possible de cumuler les crédits, attendez que le dernier soit remboursé pour en contracter un autre.
